Lors de la réunion qui a suivi le rassemblement contre les suppressions postes mercredi 8 février, les représentant-e-s du collectif de St-Thomas-La-Garde ont partagé leur expérience de lutte de l’an dernier, où différentes écoles touchées s’étaient mobilisées ensemble (St-Thomas-La-Garde, Doizieux, Tarentaise…) de manière solidaire, par des actions locales simultanées et par des actions communes à Saint-Étienne. Vous pouvez retrouver sur notre site une partie de l’historique au jour le jour de cette mobilisation, que SUD éducation a soutenu tout du long : http://sudeducation42.org/article526.html
Les échanges ont confirmé mercredi qu’il faut éviter de se battre les un-e-s contre les autres pour le partage des miettes. Il s’agit de s’organiser dans des collectifs parents-enseignant-e-s partout où c’est possible, et de coordonner ces collectifs pour agir ensemble, pour les classes et pour les postes moins visibles mais essentiels.
Il a été proposé aux enseignant-e-s des écoles mobilisé-e-s de fournir dès avant les vacances un ou deux numéros de téléphone et une ou deux adresse mail de parents d’élèves pour que les parents des écoles mobilisées puissent se coordonner entre eux directement afin de pouvoir agir avant le 3 mars. Car il est important que la pression monte et que des actions soient organisées avant le rassemblement du 3 mars devant l’IA à 10h00, où des délégations seront reçues (voir ci-joint le courrier FCPE + intersyndicale à destination des parents d’élèves).
SUD éducation s’engage à transmettre aux différents contacts que vous nous enverrez les coordonnées reçues des autres écoles. Nous n’avons pas d’autre objectif que de favoriser la coordination des résistances. Il faut bien commencer ! Communiquez-nous les coordonnées de contacts sur vos écoles de préférence à loire@sudeducation.org ou au 06 75 81 77 07 (laissez un message si vous tombez sur la messagerie).
SUD éducation mettra également en relation les écoles mobilisées cette année avec les parents et collectifs des écoles qui se sont mobilisées l’année dernière, avec qui nous avons gardé contact et qui sont disponibles pour faire partager leur expérience.
Nous ouvrirons également sur notre site comme l’an dernier un espace où nous relaierons au jour le jour les différentes communications et initiatives de mobilisation.
Le syndicat n’est pour nous qu’un outil au service des personnels et au service des luttes.