SUD Education dénonce depuis le départ l’attaque faite contre le droit du travail par l’instauration d’une journée de travail gratuite. La création de cette journée de travail gratuite est avant tout une arme servant à la remise en cause de la réduction du temps de travail et à la culpabilisation des salariés. Elle permet d’accroître la durée du travail sans contrepartie financière, sans répondre aux besoins sociaux des personnes dépendantes.
Nous appelons les collègues à faire valoir les heures déjà effectuées dans différents contextes comme valant rattrapage de cette journée. Ci-joint un modèle pour le premier degré.
Par ailleurs, pour le second degré, la fédération SUD Education dépose des préavis de grève couvrant en permanence l’ensemble des personnels qui se mobiliseront contre ces heures de travail gratuit. (Voir ces préavis). Nous rappelons que même si cette journée est fractionnée, on ne peut vous prélever qu’une journée de grève.